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- DRAFT : La recherche du travail de chef cuisinier au New-York
- DRAFT : Trois jours plus tard, le 15 mars – je n’oublierai jamais cette date –, je rentrais de l’école par une douce et fraîche soirée de printemps. Les amandiers étaient en fleur, les crocus avaient fait leur apparition, le ciel était bleu pastel et vert d’eau, un ciel nordique avec un soupçon de ciel italien. J’aperçus Hohenfels devant moi. Il semblait hésiter et attendre quelqu’un. Je ralentis le pas – j’avais peur de le dépasser – mais il me fallait continuer mon chemin, car ne pas le faire eût été ridicule et il eût pu se méprendre sur mon hésitation. Quand je l’eus presque rattrapé, il se retourna et me sourit. Puis, d’un geste étrangement gauche et encore indécis, il serra ma main tremblante. « C’est toi, Hans ! » dit-il, et, tout à coup, je me rendis compte, à ma joie, à mon soulagement et à ma stupéfaction, qu’il était aussi timide que moi et, autant que moi, avait besoin d’un ami. Je ne puis guère me rappeler ce que Conrad me dit ce jour-là ni ce que je lui dis. Tout ce que je sais est que, pendant une heure, nous marchâmes de long en large comme deux jeunes amoureux, encore nerveux, encore intimidés, mais je savais en quelque sorte que ce n’était là qu’un commencement et que, dès lors, ma vie ne serait plus morne et vide, mais pleine d’espoir et de richesse pour tous deux. Quand je le quittai enfin, je courus sur tout le chemin du retour. Je riais, je parlais tout seul, j’avais envie de crier, de chanter, et je trouvai très difficile de ne pas dire à mes parents combien j’étais heureux, que toute ma vie avait changé et que je n’étais plus un mendiant, mais riche comme Crésus. Mes parents étaient, grâce à Dieu, trop absorbés pour observer le changement qui s’était fait en moi. Ils étaient habitués à mes expressions maussades et ennuyées, à mes réponses évasives et à mes silences prolongés, qu’ils attribuaient aux troubles de la croissance et à la mystérieuse transition de l’adolescence à l’âge viril. De temps à autre, ma mère avait essayé de pénétrer mes défenses et tenté une ou deux fois de me caresser les cheveux, mais elle y avait depuis longtemps renoncé, découragée par mon obstination et mon manque de réceptivité. Mais, plus tard, une réaction se produisit. Je dormis mal parce que j’appréhendais le lendemain matin. Peut-être m’avait-il déjà oublié ou regrettait-il sa reddition ? Peut- être avais-je commis une erreur en lui laissant voir à quel point j’avais besoin de son amitié ? Aurais-je dû me montrer plus prudent, plus réservé ? Peut-être avait-il parlé de moi à ses parents et lui avaient-ils conseillé de ne pas se lier d’amitié avec un Juif ? Je continuai à me torturer ainsi jusqu’au moment où je tombai enfin dans un sommeil agité. Toute réponse doit être justifiée par un court extrait du texte introduit par une expression telle que « comme le souligne cet extrait », ou « comme nous l’indique ce passage », ou « comme le met en valeur cette phrase »,etc 1)Pourquoi peut-on dire que l’arrivée du printemps, de l’éclosion de fleurs est une forme de métaphore de l’amitié entre Hans et Conrad mais aussi des sentiments éprouvés par Hans? 2)Quels sont les grands traits de caractère commun entre les deux garçons que nous révèle le narrateur dans ce chapitre? 3)Quelles sensations et quels sentiments suscité chez Hans la certitude d’une amitié naissante avec Conrad? 5)Comment qualifieriez-vous le caractère et la personnalité de Hans depuis le début du roman? 5)Comment les parents de Hans interprètent-ils la transformation du caractère de Hans qui était souvent, selon ses propres dures, d’humeur maussade? 6)Pourquoi, étonnamment, Hans doit-il mal après une journée aussi heureuse et essentielle dans sa vie? Justifiez-vous avec au moins 2 arguments différents. LA LANGUE DOIT ÊTRE BIEN RÉDIGER AVEC PAS D’ERREURS D’ORTHOGRAPHE
- DRAFT : Trois jours plus tard, le 15 mars – je n’oublierai jamais cette date –, je rentrais de l’école par une douce et fraîche soirée de printemps. Les amandiers étaient en fleur, les crocus avaient fait leur apparition, le ciel était bleu pastel et vert d’eau, un ciel nordique avec un soupçon de ciel italien. J’aperçus Hohenfels devant moi. Il semblait hésiter et attendre quelqu’un. Je ralentis le pas – j’avais peur de le dépasser – mais il me fallait continuer mon chemin, car ne pas le faire eût été ridicule et il eût pu se méprendre sur mon hésitation. Quand je l’eus presque rattrapé, il se retourna et me sourit. Puis, d’un geste étrangement gauche et encore indécis, il serra ma main tremblante. « C’est toi, Hans ! » dit-il, et, tout à coup, je me rendis compte, à ma joie, à mon soulagement et à ma stupéfaction, qu’il était aussi timide que moi et, autant que moi, avait besoin d’un ami. Je ne puis guère me rappeler ce que Conrad me dit ce jour-là ni ce que je lui dis. Tout ce que je sais est que, pendant une heure, nous marchâmes de long en large comme deux jeunes amoureux, encore nerveux, encore intimidés, mais je savais en quelque sorte que ce n’était là qu’un commencement et que, dès lors, ma vie ne serait plus morne et vide, mais pleine d’espoir et de richesse pour tous deux. Quand je le quittai enfin, je courus sur tout le chemin du retour. Je riais, je parlais tout seul, j’avais envie de crier, de chanter, et je trouvai très difficile de ne pas dire à mes parents combien j’étais heureux, que toute ma vie avait changé et que je n’étais plus un mendiant, mais riche comme Crésus. Mes parents étaient, grâce à Dieu, trop absorbés pour observer le changement qui s’était fait en moi. Ils étaient habitués à mes expressions maussades et ennuyées, à mes réponses évasives et à mes silences prolongés, qu’ils attribuaient aux troubles de la croissance et à la mystérieuse transition de l’adolescence à l’âge viril. De temps à autre, ma mère avait essayé de pénétrer mes défenses et tenté une ou deux fois de me caresser les cheveux, mais elle y avait depuis longtemps renoncé, découragée par mon obstination et mon manque de réceptivité. Mais, plus tard, une réaction se produisit. Je dormis mal parce que j’appréhendais le lendemain matin. Peut-être m’avait-il déjà oublié ou regrettait-il sa reddition ? Peut- être avais-je commis une erreur en lui laissant voir à quel point j’avais besoin de son amitié ? Aurais-je dû me montrer plus prudent, plus réservé ? Peut-être avait-il parlé de moi à ses parents et lui avaient-ils conseillé de ne pas se lier d’amitié avec un Juif ? Je continuai à me torturer ainsi jusqu’au moment où je tombai enfin dans un sommeil agité. Toute réponse doit être justifiée par un court extrait du texte introduit par une expression telle que « comme le souligne cet extrait », ou « comme nous l’indique ce passage », ou « comme le met en valeur cette phrase »,etc 1)Pourquoi peut-on dire que l’arrivée du printemps, de l’éclosion de fleurs est une forme de métaphore de l’amitié entre Hans et Conrad mais aussi des sentiments éprouvés par Hans? 2)Quels sont les grands traits de caractère commun entre les deux garçons que nous révèle le narrateur dans ce chapitre? 3)Quelles sensations et quels sentiments suscité chez Hans la certitude d’une amitié naissante avec Conrad? 5)Comment qualifieriez-vous le caractère et la personnalité de Hans depuis le début du roman? 5)Comment les parents de Hans interprètent-ils la transformation du caractère de Hans qui était souvent, selon ses propres dures, d’humeur maussade? 6)Pourquoi, étonnamment, Hans doit-il mal après une journée aussi heureuse et essentielle dans sa vie? Justifiez-vous avec au moins 2 arguments différents. LA LANGUE DOIT ÊTRE BIEN RÉDIGER AVEC PAS D’ERREURS D’ORTHOGRAPHE
- DRAFT : reflexologie
- DRAFT : Adoption
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- DRAFT : L’anvantur de Martinot au New-York
- DRAFT : en attente d’un devis pour une benne neuve
- DRAFT : Exprimer des motivations de demande d’aide financière au ministre de l’enseignement supérieur
- DRAFT : importer un fichier excel
- DRAFT : rituel purification âme errante
- DRAFT : bonsoir Dr. bensouna voici le livre que je vous ai montré ce matin
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- DRAFT : comme lesclave du texte beaucoup de jeunes filles marocaine sont maltraitees par les familles chez qui elles travaillent
- DRAFT : les mystères d’une grotte enchantée
- DRAFT : faire un mode d’emploi simplifié pour le compteur 7M24
- DRAFT : Générateur de mots croisés avec mot mystère
- DRAFT : Mots croisés
- DRAFT : Le jus commune
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- DRAFT : comment une âme errante peut être aidée par un humain vivant
- DRAFT : Bonjour, oui encore disponible
- DRAFT : expiation d’une âme errante
- DRAFT : Pour mon sujet de mémoire que nous devons constituer en cette troisième année de licence de sociologie, j’ai choisi la franc-maçonnerie. Pourquoi avoir choisi ce sujet? Cette question que tout sociologue se pose avant d’entamer une enquête > introduire le texte de Paugam Et bien pour moi ce sujet a une résonance particulière avec mon histoire, en effet depuis petite je côtoie des franc-maçons. Mon grand-père étant lui-même inséré dans cette organisation. Depuis petite j’étais fascinée par le réseau de sociabilité de mon grand père, il connaissait toute la ville et souvent des gens dotés socialement et culturellement, ils occupaient tous des fonctions assez hautes. Plus tard j’ai appris et compris qu’il était franc-maçon, pour moi cette organisation n’avait rien de mystique, ni de secret car mon grand-père a toujours parlé librement de cette institution. C’est donc naturellement que je me suis tourné vers ce sujet d’enquête car je peux facilement avoir des entretiens et rentrer dans les loges de part le contact de mon grand père Mon objet d’étude est donc comme explicitée plus haut la franc-maçonnerie, en premier lieu je voulais étudier la place de la femme au sein de cette organisation, car avant la franc-maconnerie était réservé exclusivement aux hommes. Les femmes n’avaient pas leur place au sein de cette institution patriarcale. C’est au cours du 18e siècle malgré l’assujetissement de la femme a l’autorite masculine que Les loges féminines ont commencé à émerger en Angleterre, donnant l’impression que les femmes pouvaient accéder à une certaine émancipation, cependant, elles demeuraient encore liées aux structures patriarcales, une réalité persistante même de nos jours. Les loges féminines sont donc petit à petit arrivées dans les obédiences maçonniques. Ensuite les loges mixtes sont apparus au cours du 20e. La place de la femme au sein de la franc-maconnerie était la premiere piste que je voulais creuser car, je ne comprenais pas pourquoi il existait encore des loges exclusivement masculines ainsi que feminines. La franc-maçonnerie faisait t-elle une distinction entre Hommes et Femmes? Pourquoi ne pas abolir ces loges pour les remplacer par des loges exclusivement mixtes? Dans les loges mixtes se jouait t-ils encore des rapports de force, comment le patriarcat s’investit t-ils au sein des loges? Est ce que les femmes étaient en position de dominés, se jouaient t-ils les mêmes rapports de force qu’au sein de la société ? En avait t-elles conscience? Je voulais aussi interroger cette dichotomie hommes femmes, car maintenant nous savons qu’il peut y avoir une pluralité de genre, comment la franc-maçonnerie se situait t-elle sur ces questions de genre. Mais ensuite j’ai effectué une première observation à Paris, et un des franc-maçons a prononcé cette phrase “ Dans le temple nous abandonnons notre statut social, nos humeurs , ainsi nous laissons nos métaux à la porte du temple”. Et cette phrase a fait écho en moi, et surtout au cours de Sociologie des classes sociales que nous suivons durant ce cursus. Comment pouvons nous, nous défaire de notre statut social? Je me suis alors demandé comment les rapports de classes se jouaient au sein de cette institution? comment survenaient t-ils au sein des discussions, des degrés occupés.. Avec toutes ces questions en tête, la visite se clôtura et l’homme qui nous a présenté les lieux, nous dit que si nous voulons nous pouvons entrer au sein de l’organisation, quelles que soient nos origines sociales. J’ai alors été étonné car pour moi les classes populaires ne sont pas ou peu représentées dans la franc-maçonnerie. Tiraillée par deux sujets, j’ai finalement optée d’explorer les rapports de domination et la possible mobilité sociale au sein de la franc-maçonnerie. J’ai choisi d’utiliser des entretiens semi-structurés avec des membres de la franc-maçonnerie, je vais essayer de varier les profils en essayant de sélectionner des gens issus de classes sociales différentes. Mais cela risque de ne pas être facile car en parlant avec mon grand-père ainsi que ces amis, les classes populaires se font rares au sein de cette institution. Car d’après mes premières observations la culture validé par la franc maçonnerie est la culture dominante. Il faudra bien sûr approfondir ce sujet pour que je puisse avancer ce genre de propos. Mon premier entretien non officiel mais plutôt officieux sera mon grand-père, car venant d’un milieu modeste, qu’est ce qui a fait dans sa socialisation (primaire ou secondaire) qu’il s’est tourné vers la franc maçonnerie. Et comment a t-il su investir la culture dominante pour faire une mobilité ascendante culturelle et sociale. De ce fait, j’ai rédigée plusieurs hypothèses: > Les membres issus des classes populaires qui rejoignent la franc-maçonnerie ont-ils adopté les normes culturelles et les pratiques sociales des classes dominantes a priori surreprésentés dans cette institution. >La franc-maçonnerie peut elle entraîner une mobilité ascendante culturelle et sociale de ces agents? >Malgré une possible inclusion de ces agents issus de classes populaires, les rapports de domination présent au sein de la société persistent-ils au sein de la franc maçonnerie > Investissent t-elles les plus qu degrés de la maçonnerie ou reste elle a des statuts en bas des marches des degrés de la franc maçonnerie? > Les membres issus des classes populaires font t-ils preuve de stratégies d’ascension culturelle en adoptant les codes et comportements validés au sein de la franc maçonnerie? >La franc-maçonnerie promeut telle un modèle méritocratique ou la progression des membres est basée sur leurs compétences, le mérite. Alors que la progression de ces membres est due en partie à ces origines sociales. >Perpétuation de l’élitisme ? La franc-maçonnerie maintient t-elle une composition majoritairement issue des classes sociales dominantes ce qui contribuerait à la préservation des structures sociales dominantes. Les limites que je rencontre dans cette enquête sont les sources bibliographiques sociologiques dans le domaine de la franc-maçonnerie, car l’accès aux informations est souvent difficile car les ressources sont souvent fragmentées et conservées dans des archives maçonniques souvent fermées, les chercheurs sont donc limités dans leurs recherches. Ce qui explique sûrement pourquoi il existe à ce jour très peu de documentation sociologique sur la franc-maçonnerie.
- DRAFT : joyeux anniversaire gregory casada le monde t’aime malgré ton amour incessant pour les hommes et les bites.
- DRAFT : Ville orage nuit allumé après temps ciel
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- DRAFT : Voici le logo validé ainsi que ses déclinaisons en blanc et en noir pour les différents usages
- DRAFT : les 5 départements français où passer une retraite paisible
- DRAFT : En effet, la naïveté du sujet, ou encore son erreur de jugement, peut créer une sorte de contrainte qui présente la particularité d’être interne à celui-ci, c’est-à-dire n’existant que dans son esprit même, et qui s’explique par la confiance excessive accordée à la personne du porteur. Cette situation peut l’amener, sur proposition du porteur, à réaliser des actes qui iront à l’encontre de ses propres intérêts.
- DRAFT : le mur de Berlin
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- DRAFT : Plancher Newlook vous offre un service de sablage de plancher à Blainville
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- DRAFT : Plan détaillé sur le sujet suivant : La méritocratie est t-elle une utopie ?
- DRAFT : plaisir de marcher entre les rochers
- DRAFT : biographie Bernard Fournier sénateur
- DRAFT : pascal giraud marche trop contre igloo
- DRAFT : Les jeux des ami mortelle halloween
- DRAFT : top 7 des villes françaises pour passer sa retraite
- DRAFT : Quelle est l’importance de la jurisprudence en tant que source interprétative du droit et quels sont ses avantages et limites ?
- DRAFT : Dans quelle mesure peut-on affirmer que l’Empire était plus fort que jamais au moment de la déclaration de Léon Gambetta le 9 mai 1870 ?
- DRAFT : Dans quelle mesure peut-on affirmer que l’Empire était plus fort que jamais au moment de la déclaration de Léon Gambetta le 9 mai 1870 ?
- DRAFT : pourquoi on a chosit de creer un magazine de jeu et divertissement pour le college
- DRAFT : Preambule
- DRAFT : Les dangers des réseaux sociaux lors d’un entretien d’embauche
- DRAFT : Tu es un étudiant espagnol de première. Fais-moi un oral de 3 minutes sur les dangers des réseaux sociaux lors d’un entretien d’embauche
- DRAFT : Dictée
- DRAFT : Dictée
- DRAFT : Dictée
- DRAFT : En médecine, on se retrouve parfois face à des dilemmes compliqués qui touchent à l’éthique. L’un de ces problèmes concerne des parents qui veulent faire un bébé dans le seul but de sauver leur enfant malade. Ce dilemme soulève la question centrale de la vie, de la dignité et de la procréation assistée. Ainsi, dans ce texte, les valeurs fondamentales en jeu seront explorées, la situation sera analysée sous un œil kantien et finalement une prise de position claire sera donnée sur cette question délicate. La situation mise en lumière concerne la demande des parents de concevoir un enfant dans le but spécifique de le faire naître comme donneur de cellules souches pour leur enfant atteint de leucémie. Cette conception nécessite une fécondation in vitro avec sélection génétique, et parmi les embryons créés, un seul est un donneur potentiel, mais il est également atteint de trisomie 21. La question éthique impliquée est de savoir si cette démarche est éthique, en prenant en compte les principes de la dignité, de l’intégrité génétique, de l’autonomie individuelle et de la moralité. Pour analyser ce dilemme éthique, il va y avoir une exploration sur les principales valeurs en jeu. Ensuite, un examen de cette situation à la lumière de la philosophie éthique de Kant, en mettant l’accent sur le devoir et la dignité. Enfin, une prise de position sur la question sera prise, tout en reconnaissant les arguments contraires à notre point de vue. Le cas examiné soulève de nombreuses valeurs éthiques importantes. Tout d’abord, il y a la valeur primordiale de la vie qui pousse les parents à tout mettre en œuvre pour sauver la vie de leur enfant. Cependant, cette valeur doit être équilibrée avec le respect de la dignité humaine. La dignité repose sur l’idée que chaque individu possède une valeur essentielle et doit être traité comme une fin en soi, et non comme un moyen pour atteindre une fin. La demande des parents d’utiliser la sélection génétique pour concevoir un enfant spécifiquement comme donneur de cellules souches soulève des inquiétudes quant à l’exploitation de cet enfant à naître. L’autonomie individuelle est une autre valeur en jeu, car les parents cherchent à exercer leur droit de décider de la vie et de la santé de leur enfant. Cependant, cela doit s’équilibrer avec la responsabilité parentale qui exige que les parents agissent dans l’intérêt primordial de leur enfant malade, tout en respectant le bien-être de l’enfant à naître. De plus, la liberté de procréation est en jeu, car les parents cherchent à choisir l’enfant qui naîtra pour sauver leur enfant malade. L’intégrité génétique est également une valeur importante, car la sélection génétique pourrait être utilisée pour concevoir intentionnellement un enfant atteint de trisomie 21. Donc, cela soulève des préoccupations éthiques liées au respect de la dignité de cet enfant, en le réduisant à sa condition médicale. Enfin, la valeur de l’égalité doit être prise en compte, puisque cela soulève des questions sur le traitement équitable des individus atteints de trisomie 21 et leur droit à une vie pleine de dignité. La philosophie éthique de Kant facilite la compréhension de cette situation en donnant des directions précisions en cas de questionnement éthique. Kant soutient que les actes moraux découlent de l’obligation morale universelle qui exige que nous agissions selon des codes de conduite que nous pourrions universaliser. L’idée de sauver la vie d’un enfant malade est une obligation morale universelle, car si tout le monde adoptait ce code de conduite, nous souhaiterions que chaque parent fasse de même pour son enfant. Cependant, la conception intentionnelle d’un enfant comme un moyen pour sauver un autre enfant peut être critiquée du point de vue kantien, car cela instrumentalise l’enfant à naître. Kant s’oppose fermement à l’instrumentalisation des personnes, les considérant comme des fins en soi. Dans cette situation, il semble que l’enfant à naître soit traité comme un moyen pour atteindre la fin de sauver son frère, ce qui va à l’encontre de la dignité de cet enfant. De plus, la création intentionnelle d’un enfant atteint de trisomie 21 soulève des préoccupations éthiques supplémentaires. Kant insiste sur le respect de la dignité de chaque individu, en les traitant comme des fins en soi. Concevoir intentionnellement un enfant atteint de trisomie 21 en vue de l’utiliser comme donneur potentiel pourrait être perçu comme contraire à la dignité de cet enfant. Pour conclure, le dilemme éthique soulevé par la demande des parents de concevoir un enfant spécifiquement pour sauver la vie de leur enfant malade est profondément complexe. Bien que la volonté de sauver la vie de leur enfant soit compréhensible, les moyens choisis soulèvent des préoccupations éthiques majeures liées à la dignité, à l’intégrité génétique et à l’exploitation de l’enfant à naître. En accord avec la philosophie kantienne, la conception intentionnelle d’un enfant atteint de trisomie 21 pour atteindre une fin morale ne semble pas justifiable. Il est essentiel de rechercher des alternatives qui respectent la dignité de tous les individus concernés, tout en offrant un soutien émotionnel et médical aux parents dans cette période difficile. Ce dilemme souligne la complexité des décisions éthiques en médecine et en procréation assistée, et rappelle l’importance de tenir compte des principes kantiens de dignité et d’intégrité tout en cherchant des moyens de sauver des vies. La question éthique demeure : Jusqu’où pouvons-nous aller pour sauver une vie, sans compromettre la dignité et l’intégrité des individus impliqués ?
- DRAFT : Madame, Monsieur Passionné par tout ce qui touche à la science, la biologie et à la santé. Immédiatement après avoir obtenu mon diplome d’études secondaires, je me suis intéressé a la science de la vie et de la terre, avec un accent sur la chimie, la biologie et la géologie. Licenciée en Physiologie Animale – Nutrition – Neurosciences – Endocrinologie, je suis actuellement inscrite en Master 1 en Nutrition – Comportement-Santé. Je profite de cette lettre pour vous faire part de mon souhait d’intégrer votre licence en Neurosciences et Sciences de Comportement en année 3. j’ai profité de mon année à la fac pour approfondir mes connaissances. Durant ma licence, j’ai pu m’initier à la fabrication du paracetamol, étudier les maladies émergentes et en master 1 j’ai suivie des cours en toxicologie et pharmacologie. J’ai aussi eu l’opportunité de faire un projet dans un laboratoire où j’ai pu développer des projets de fabrication pharmaceutique. Cette expérience m’a permis de développer les qualités relationnelles, la rigueur scientifique, l’esprit d’analyse, la curiosité intellectuelle, et une bonne capacité rédactionnelle qui sont selon moi les principaux atouts de cette licence. Votre université semble être la mieux adapté à cette formation en raison de la variété des atouts dont disposent ses étudiants, des ressources documentaires importantes et à jour, et des laboratoires bien équipés sont des atouts importants pour un bon enseignement. Les diverses conditions, m’ont rapidement fait choisir cette université pour poursuivre mes études. Dans un premier temps, m’inscrire en licence 3 me permettra de renforcer mes connaissances dans ce domaine en constante évolution, ainsi que de perfectionner et d’enrichir mes bases, puis d’atteindre mes objectifs d’obtenir un Master en neurosciences qui me conduira vers une carrière universitaire : attaché de recherche clinique. De plus, la rétrogradation n’est pas une décision aléatoire, mais mon désir d’apprendre de nouvelles méthodes de travail que j’ignorais auparavant. Je suis rigoureuse dans mon travail, toujours à la recherche de l’excellence, soucieuse et respectueuses de mon environnement, C’est une grande motivation pour moi de travailler sur cette lettre, j’espère qu’elle sera prise en considération. Cordialement
- DRAFT : De nature à ne pas me presser, je m’intègre à mon rythme. Rapidement mes collègues deviennent alors mes amis et l’ambiance est accueillante. Durant les 10 prochains mois je ne connaîtrais aucune problématique sérieuse avec un ou une collègue quelconque
- DRAFT : repenti d’une âme errante
- DRAFT : En général, la classe se disperse assez facilement et rencontre des difficultés à recevoir et à écouter les instructions. Bien que pertinentes, les prises de parole sont souvent désordonnées et montrent un manque d’autonomie et un besoin d’être rassuré
- DRAFT : En général, la classe se disperse assez facilement et rencontre des difficultés à recevoir et à écouter les instructions. Bien que pertinentes, les prises de parole sont souvent désordonnées et montrent un manque d’autonomie et un besoin d’être rassuré
- DRAFT : Langage soutenu
- DRAFT : tyrosine, cystéine, acide aspartique, acide glutamique, histidine, lysine, arginine
- DRAFT : marmotte symboles et croyances
- DRAFT : castor symbole et croyances
- DRAFT : Nous sommes le 2 février 1954, j’ai décidée de créer ce journal pour vous faire par de mon histoire mais surtout d’un de mes nouveau projet. Je m’appelle Vivian Maier j’ai 28 ans, depuis hier, et je suis photographe. Je vis définitivement à New York depuis 2ans puisque je voyageais entre la France les État Unis jusqu’à présent. J’adore ce pays New York, ici chacune de mes photos à une histoire. Mon appareil photo ne me quitte plus. J’ai oublié de vous dire mais je suis également nounou, je travail pour de grandes familles nombreuses. J’adore photographier le quotidien des habitants de ma ville, ainsi que des enfants que je garde, en faisant des portraits, montrant la joie et la misère du pays. Puisque bien évidement la 2ème guerre mondial c’est fini il a pas si longtemps, le monde essaye encore de ce reconstruit, je me fais donc petite je me promène, je voyage, puis je capture ce qui m’inspire, ce qui peut marquer l’histoire, l’histoire des états unis dans les années 50.
- DRAFT : Nous sommes le 2 février 1954, j’ai décidée de créer ce journal pour vous faire par de mon histoire mais surtout d’un de mes nouveau projet. Je m’appelle Vivian Maier j’ai 28 ans, depuis hier, et je suis photographe. Je vis définitivement à New York depuis 2ans puisque je voyageais entre la France les État Unis jusqu’à présent. J’adore ce pays New York, ici chacune de mes photos à une histoire. Mon appareil photo ne me quitte plus.
- DRAFT : comportement perturbé d’une jeune fille suite au décès accidentel de ses parents
- DRAFT : détresse d’une orpheline
- DRAFT : objectif sur le CV
- DRAFT : Je m’appelle Keellyana, j’ai seize ans et je suis actuellement en classe de 1ere STMG (Sciences technologique du management et gestion) au lycée Saint Joseph à Machecoul.
- DRAFT : Je m’appelle Keellyana, j’ai seize ans et je suis actuellement en classe de 1ere STMG (Sciences technologique du management et gestion) au lycée Saint Joseph à Machecoul.
- DRAFT : Visibilité sur Internet
- DRAFT : Visibilité sur Internet
- DRAFT : Hallowen
- DRAFT : « Je ne souhaitais qu’une chose : devenir coach de basket » Raconte toi aussi tes aspirations, tes projets pour l’avenir. Voici les consignes à respecter : 1. Raconte de façon développée tes projets pour l’avenir en employant le vocabulaire des sentiments. 2. Utilise plusieurs figures de style comme la comparaison, la métaphore, l’anaphore et l’énumération. 3. Décris les lieux dans lesquels tes projets pourraient se réaliser et accorde correctement les adjectifs de couleur. 4. Veille à l’orthographe et à la qualité de ton expression. 8 — © Cned, Français 31 Page 4/5 — Devoir 2 Devoir 2 – suite Avant de recopier ta rédaction au propre, relis ton brouillon et vérifie que tu as bien respecté les consignes en complétant le tableau suivant. N’oublie pas de sauter des lignes pour faciliter la lecture et la correction de ton travail. Découpe ensuite le tableau page 5 et colle-le dans ta copie pour que ton professeur puisse détailler sa note. Ton travail au propre fera au moins deux pages.
- DRAFT : Sablage Sans Poussière propose des services de sablage de plancher à Blainville
- DRAFT : Sablage Sans Poussière propose des services de sablage de plancher à Repentigny
- DRAFT : Sablage Sans Poussière propose des services de sablage de plancher à Terrebonne
- DRAFT : pourquoi une mère décide de na pas mettre son fils handicapé mental dans un établissement spéciaisé
- DRAFT : pourquoi une mère décide de na pas mettre son fils handicapé mental dans un établissement spéciaisé
- DRAFT : amour d’une tante porté à sa nièce
- DRAFT : SSP.net propose des services de sablage de plancher à Mascouche